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Artiste peu connu

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Message  snyki Jeu 6 Nov - 15:43

Voici l'un de mes texte préféré qui parle de jouet! Puisque noël approche, je vous en fait cadeau Razz

(Texte trouvé dans un livre et je l'ai réécrit pour le partager avec vous. Je l'adore vraiment)

Juliette entra dans sa chambre en souriant, et mille autres Juliette lui renvoyèrent son sourire. Car les murs étaient tapissés de miroirs, et le plafond serti de multiples facettes qui réfléchissaient son image.

Partout où se portais son regard, elle voyait les mêmes boucles blondes encadrant un visage délicat, radieux amalgame d'ange et d'enfant, formant un contraste avec la riche plénitude du corps entrevu sous le déshabillé vaporeux.

Mais ce n'était pas à son image que Juliette souriait. Elle souriait parce qu'elle savait que grand-père était de retour et qu'il lui avait apporté un nouveau jouet. Encor quelques instants et le jouet, après avoir été décontaminé, lui serait livré. Elle voulait être prête.

Juliette tourna la bague qu'elle avait au doigt et les miroirs s'obscurcirent. Un tour de plus, et la pièce serait plongée dans l'obscurité totale; un tour en sens inverse, et tout s'illuminerait brillamment. C'était une question de choix... mais n'était-ce pas là, justement, le secret de la vie? Choisir, pour le plaisir.

Et ce soir, quel allait être son plaisir?
Juliette s'avança vers l'un des panneaux réfléchissants devant lequel elle passa la main. La glace coulissa pour révéler une cavité en forme de cercueil creusé dans le roc, avec les brodequins et les poucettes à bonne hauteur.

Un instant, elle hésita. Ce jeu-là, il y avait des années qu'elle n'y avait pas joué. Une autre fois peut-être. Juliette agita de nouveau la main et le panneau de glace vint reprendre sa place devant l'ouverture.

Silencieusement, elle erra d'un miroir à l'autre, ouvrant tour à tour chaque panneau pour en inspecter le contenu, Il y avait le chevalet, puis le tabouret, avec un assortiment de fouets posés sur le bois parsemé de taches sombres. Il y avait aussi la table de dissection, vieille de plusieurs siècles, avec ses instrument bizarres. Et derrière le panneau suivant, les électrodes, capables de provoquer les plus grotesques grimaces et contorsions de douleur, sans parler de hurlements. Mais bien sûr, dans une pièce parfaitement insonorisée, les hurlements ne comptaient guère.

S'approchant de la paroi, Juliette agita de nouveau la main et le miroir obéissant coulissa, révélant un jouet presque oublié. C'était l'un des premiers objets que grand-père lui avait donnés et il était très vieux, comme un sarcophage. Comment cela s'appelais-il donc? Oui...la Vierge de Fer de Nuremberg, avec ses pointes acérées à l'intérieur, et on tournait la petite manivelle servant à refermer le couvercle, en prenant bien son temps, et les pointes pénétraient lentement, aux coudes, aux poignets, aux chevilles et aux genoux, à l'aine et au yeux. Il fallait bien éviter, surtout, de se laisser prendre au jeu et de tourner trop vite, car cela gâchait le plaisir.

Grand-père lui avait montré comment faire fonctionner la Vierge la première fois qu'il avait ramené un véritable jouet vivant. C'étais grand-père, d'ailleurs, qui lui avait tout montré. Il savait tant de chose. Il lui avait donné même son nom –Juliette- d'après un de ces vieux livres imprimés sur du papier qu'il avait découverts un jour, du philosophe Sade.

Grand-père rapportait les livres du passé, de la même manière qu'il lui ramenait ses jouets. Il était le seul à pouvoir aller dans le passé, car lui seul possédait le translateur.

Le translateur était une machine très ingénieuse, capable d'atteindre des fréquences vibratoires propres à la libérer du champ de cohésion temporelle. Au repos, ce n'étais qu'une sorte d'énorme cube, de la taille d'une petite chambre. Mais lorsque grand-père se mettait aux commandes et que les vibrations commençaient, elle devenait flou et finissait par disparaître. Elle était toujours là, expliquait grand-père –du moins, la matrice demeurait en tant que point fixe dans le temps et dans l'espace- mais tout ce qui se trouvait à l'intérieur du cube pouvait se déplacer librement dans le passé, selon la programmation préalable, ce qui était plutôt un avantage lorsqu'il s'agissait de recueillir toutes sortes d'objets intéressants dans des endroits quasi mythiques : la grande bibliothèque d'Alexendrie, la pyramide de Chléops, le Kremlin, le Vatican, Ford Knox –tous lieux dépositaires de plus grand savoir et des plus grand trésors, il y avait de cela des milliers d'années. C'était surtout cette période-là du passé qui l'intéressait, celle d'avant les guerres thermonucléaires et les ères robotiques. Naturellement, le livres, les bijoux et autres objets de métal étaient sans utilité, sauf pour un amateur d'antiquités, mais grand-père en avait toujours eu un tempérament romantique et la belle époque le passionnait.

Il était étrange qu'un homme comme grand-père fût le propriétaire du translateur; mais naturellement, ce n'était pas lui qui l'avait fabriqué. En réalité, c'était le père de Juliette, et après sa mort, grand-père en avait pris possession. Juliette le soupçonnait même d'avoir tué son père et sa mère tandis qu'elle était bébé, mais elle n'avait jamais pu approfondir la chose. Non que cela eût une grande importance : grand-père était toujours très gentil avec elle, et de plus il mourrait bientôt et le translateur serait à elle.
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Message  snyki Jeu 6 Nov - 15:44

(J'ai du l'envoyé en deux fois, le texte était trop long)

Ils plaisantaient souvent là-dessus : «J'ai réussi à faire de toi un monstre, disait-il, et un jour tu finiras par me détruire. Après quoi, comme de bien entendu, tu procéderas à la destruction du monde – ou du peu qu'il en reste. »
- « Et tu n'a pas peur? » le taquinait-elle.
- « Certainement pas. C'est au contraire ce quoi je rêve : la destruction de tout chose. La fin de cette stérile décadence. Te rend-tu compte qu'il fur un temps où la planète comptait trois milliards d'habitants? Au lieu d'un peu moins de trois mille à présent! Condamnés à vivre à l'intérieur de ces dômes, prisonniers d'eux-mêmes et confinés à jamais sur un monde stérile, expiant les péchés de leurs pères qui ont empoisonné non seulement leur planète mais aussi l'espace extérieur en voulant jouer avec l'équilibre atomique de l'univers. Virtuellement, l'humanité est déjà en voie d'extinction; tu ne ferais que donner un coup de pouce au processus final. »

- «Mais si nous utilisions le translateur, par exemple, pour retourner dans une autre époque? » avait-elle demandé.
- «Pour retourner où? Le continuum est immuable; les événements se suivent et s'enchaînent inexorablement pour nous ramener à un présent dont l'inévitable aboutissement est la destruction totale. Bien sûr, nous assurerions notre survie à titre individuel et temporaire, mais à quoi bon? Aucun d'entre nous n'est équipé pour survivre dans un milieu plus primitif. Autant rester où nous sommes et profiter du moment présent au maximum. Mon plaisir, c'est d'être l'unique propriétaire et utilisateur du translateur. Et le tien, Juliette...»

Là, grand-père se mettait à rire. Ils riaient tous les deux, car ils savaient en quoi consistait son plaisir à elle.

A l'âge de onze ans, Juliette avait tué son premier jouet : un petit garçon. Grand-père le lui avait rapporté du passé, en guise de présent exceptionnel destiné à ses jeux. Mais il n'avait pas voulu coopéré, alors elle avait perdu patience et l'avait battu à mort avec un verge d'acier. Puis grand-père lui avait ramené un jouet un peu plus âgé, à la peau brune, qui avait parfaitement coopéré, mais à la fin elle s'en étais lassée et un jour qu'il dormais dans son lit elle l'avait attaché et s'était munie d'un couteau.

Un peu avant qu'il meure, Juliette avait découvert de nouvelles sources de plaisir, et naturellement grand-père s'en étais aperçu. C'était la raison pour laquelle il l'avait baptisée «Juliette»; il semblait approuver au plus haut point, et c'est à partir de là qu'il lui avait apporté tous les objets qu'elle conservait dans sa chambre derrière les miroirs. De plus, il profitait toujours de ses incessantes incursions dans le passé pour lui ramener de nouveaux jouets.

Étant invisible, il pouvait les prendre pratiquement partout où il passait : il n'avait qu'à utiliser sur eux un étourdisseur et les transporter avec lui lors de son retour. Naturellement, chacun des jouets devait être soigneusement décontaminé; le passé pullulait de micro-organismes. Mais une fois convenablement aseptisés, ils étaient livrés à Juliette pour ses plaisirs, et depuis sept ans elle avait rarement eu l'occasion de s'ennuyer.

Le plus délicieux, c'étais toujours cette période d'attente juste avant l'arrivée d'un nouveau jouet. A quoi allait-il ressembler, cette fois-ci? Grand-père s'était toujours montré très attentionné; il s'assurait généralement que les jouets parlaient et comprenaient l'anglien – ou «anglais», comme on disait dans le passé. La communication verbale avait en effet son importance, surtout si Juliette voulait mettre en pratique les préceptes du philosophe Sade et se livrer à quelque forme de rapport sexuel avant de passer à des plaisirs plus vifs.

Mais, pour en revenir à son attente, ce nouveau jouet allait-il être jeune ou vieux, farouche ou soumis, mâle ou femelle? Elle en avait eu de toutes les sortes, avec toutes les combinaisons possibles. Parfois, elle les gardait vivants plusieurs jours de suite avant de s'en lasser – ou avant que les raffinements dont elle était capable les fassent expirer. D'autres fois, elle voulait que tout se passe très vite; ce soir, par exemple, elle savait que seule la plus directe et la plus primitive des actions serait en mesure de la satisfaire.

A cette pensée, Juliette cessa d'errer d'un miroir à l'autre et marcha d'un air décidé vers le lit. Elle souleva le couvre-lit et passa la main sous l'oreiller. Il était toujours là... le grand couteau à la lame cruelle et effilée. Elle savait, à présent, ce qu'elle allait faire : elle conduirait au lit son nouveau jouet, en sa compagnie, et juste au bon moment, elle s'arrangerait pour combiner ses plaisirs. Si elle pouvait synchroniser son coup de couteau...

Elle frissonna de plaisir anticipé, puis d'impatience.

Quel serait son nouveau jouet? Elle se remémora celui, digne et suave, qu'elle avait eu une fois – Benjamin Bathurst, tel était son nom : un diplomate anglais du temps des guerres napoléoniennes, avait dit grand-père. Et, tout digne et suave qu'il était, il n'avait pas résisté bien longtemps au corps provoquant qui l'attirait vers le lit. Et il y avait eu cette aviatrice américaine, venue d'un peu plus tard dans le passé, et même une fois, en guise de festin hors série, l'équipage au complet d'un vaisseau à voile appelé la Marie Céleste. Ils avaient duré des semaines!

De façon inattendue, il lui était même arrivé de lire après coup des commentaires à propos de certains de ses jouets. Car lorsque grand-père les abordait avec son étourdisseur et les ramenait ici, ils disparaissaient définitivement du passé. Et, s'ils étaient tant soit peu connus ou importants à leur époque, leur absence était remarquée. C'est ainsi que parfois, les livres rapportés par grand-père mentionnaient telle ou telle « disparition mystérieuse» dont le mystère, évidemment, n'avait jamais pu être éclairci. Que tout cela était délicieux!

Juliette arrangea soigneusement l'oreiller et remit le couteau en place. Elle ne se tenait plus d 'impatience maintenant. Qu'est-ce qui pouvait bien causer un tel retard?

Elle se força à marcher jusqu'au pulvérisateur et abaissa le levier tout en laissant glisser à terre son déshabillé, exposant son corps à un nuage odoriférant. C'était la dernière touche avant la séduction finale. Mais... pourquoi donc n'arrivait-il pas?

Soudain la voix de grand-père lui parvint par l'auditor :
- « Je t'envoie une petite surprise, ma chérie.»
C'est ce qu'il disait toujours; cela faisait parti du jeu.
Juliette abaissa le levier du communicateur. « Ne me fait pas languir», supplia-t-elle. « Dis- moi ce que c'est»
- « Un Anglais. Fin de l'époque victorienne. Un monsieur très comme il faut, à en juger d'après son apparence.»
- « Jeune? Beau? »
- « Acceptable. » Grand-père gloussa. « tes appétits te trahissent, ma chère.»
- « Qui est-ce? Il est dans les livres? »
- « Nous n'avons pas pu savoir son nom. Aucun indice n'a permis de l'identifier pendant la décontamination. Mais à en juger par ses manières heures de la matinée lorsque je l'ai découvert, ce doit être un médecin qui revenait d'une urgence. »

Naturellement, Juliette savait grâce à ses lectures ce qu'était un «médecin», de même qu'elle n'ignorait pas le sens du mots «victorien»; et, confusément, elle sentait que la combinaison sonnait juste à souhait.

- «Très comme il faut? » minauda-t-elle. «J'ai l'impression qu'il va avoir un choc. »
Grand-père se mit à rire. « Toi, j'ai l'impression que tu as ta petite idée. »
- «C'est vrai. »
- « Je peux regarder? »
- «S'il te plaît... pas cette fois. »
- « Très bien. »
- «Ne sois pas fâché, dit. Je t'aime. »

Et Juliette coupa le contact. Juste à temps, car la porte s'ouvrit à ce
moment-là et le jouet entra.

Elle le regarda longuement. Grand-père avait dit vrai. Le jouet était de sexe mâle; il devait avoir dépassé la trentaine et était doué d'un pouvoir de séduction qui n'était nullement dû à la beauté. Car comment aurait-il été beau, tout de noir vêtu, avec ces favoris ridicules? Il y avait dans son apparence une sorte de réserve embarrassée, un air de raffinement guindé qui était presque déprimant. Et naturellement, lorsqu'il aperçut Juliette dans son déshabillé suggestif, il se mit, littéralement, à rougir.

Cette réaction déchaîna l'enthousiasme de Juliette. Un Victorien rougissant... charpenté comme un taureau... ignorant, par surcroît, qu'il était à l'abattoir!

C'était si amusant qu'elle ne pouvait plus se contenir. Elle s'avança vers lui et l'enlaça.
- « Qui... qui êtes-vous? Où suis-je? »
Les question classiques, posées de la même voix classique. En temps ordinaire, Juliette se serait amusée à les éluder, par des réponses destinées à émoustiller et à aguicher sa victime. Mais, ce soir, elle ressentait un désir pressant que ne fît que s'accroître lorsqu'elle étreignit son jouet et l'attira vers le lit.

Le jouet commençait à réagir; sa respiration se fit oppressée.
Mais il était toujours désorienté : « Je ne comprends pas. Dites-moi... suis-je en vie? Ou sommes-nous au ciel? »

Le déshabillé de Juliette s'ouvrit tandis qu'elle se laissait tomber en arrière. «Tu es vivant, mon chéri», murmura-t-elle. « Merveilleusement vivant. » Et, tandis qu,elle se mettait en devoir de prouver cette assertion, elle ajouta riant : « Mais beaucoup plus près du ciel que tu ne le crois. »

Et, pour prouver cette assertion-là, elle glissa sa main libre sous l'oreiller, à la recherche du couteau.

Mais le couteau n'y était plus. Déjà, comme animé d'une vie propre, il avait rejoint la main du jouet, qui n'était plus un monsieur comme il faut mais un visage de cauchemar à peine entrevu avant l'éblouissant impact de la lame qui retombe encore, et encore et encore...

Naturellement, la pièce était insonorisée, et ce n'était pas, le temps qui manquait. Ce n'est que plusieurs jours après qu'on découvrit ce qui restait du corps de Juliette.

Tandis qu'à Londres, après un dernier crime mystérieux aux petite heures du matin, la police ne remit jamais la mains sur Jack l'Éventreur...


(Écrit par Robert Bloch, Traduit par Guy Abadia, tiré du recueil: Nounourse est pyromane)
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Message  snyki Mar 11 Nov - 5:08

Aucun commentaire????? J'avoue que ça semble long mais ça vaux la peine de le lire!!!
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Message  al13crow Dim 16 Nov - 21:31

mmh le texte paraissai long en effet mais tellement absorbant que l on se dit qu elle dommage que cela ne continue pas encore , et puis ecrit de telle maniere que l on rentre veritablement dans l histoire .
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Message  snyki Lun 17 Nov - 2:43

Oui, j'avoue qu'on rentre rapidement dans l'histoire!! J'aime beaucoup le fait qu'il élude certain mystère de l'histoire! Et moi aussi je veux des jouet comme ça Razz
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Message  al13crow Lun 17 Nov - 17:24

j ai un jeu de playstation qui devrai te plaire le contexte c est une jeune fille enfermer dans un chateau avec des mecs qui veulent la tuer parcqu elle est modite , afin de les tuer on pose des piege de mur , plafond et sol . Un seul par categorie , il y a en piege de mur le cerceuil a pointe mais aussi en allumant avec une boule de feu le chandelier et en catapultan avec un piege de sol l enemi a coter d un tapi une cinematique se met en marche où l on voit une trappe s ouvrir , et un crochet attraper les jambe du personnage l attiran dans les rouage d une orgue geante et pendan qu il se fait broyer on entend une musique triste ^^
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Message  Nyarlathotep Mar 18 Nov - 2:09

Délicieux!
Je viens de lire (j'ai réellement eu peu de temps pour le net dernièrement). C'est décidément délicieux! Bon style. As-tu lu d'autre Bloch? C'est dans le même style?
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Message  snyki Mar 18 Nov - 7:12

Non, ça me dit rien!
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Message  Nyarlathotep Dim 23 Nov - 8:20

Ah oui je sais! Nos amis Français ne connaissent peut-être pas ce groupe de mon coin de pays:
I love you Bran-Van 3000 ! I love you

Leurs albums sont délicieusement sexy. Ils y mélangent le disco, le reggae, le hip hop et j'en passe. Ils chantent tantôt en anglais, tantôt en français, tantôt en sénégalais. Ça se danse à merveille et à deux la nuit c'est encore mieux. Un must pour vos chaudes soirées si vous voulez mon avis.

Voici une de leurs pièces les plus connues: ASTOUNDED. Le vidéo est à croquer.
Et une autre? Couch Surfer.
Mais selon moi une des meilleures est sans contredit :
AFRODIZIAK

Bonne écoute!


J'essaierai de trouver d'autres titres On-line et je les ajouterai à même ce message ...
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Message  snyki Dim 23 Nov - 18:31

J'ai prit le temps d'écouter mais je dois dire que je n'aime pas vraiment ce genre de musique.
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